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- 169 p. : ill.
Cote : WM 171 F489t 2008

Troubles bipolaires

On estime que le trouble bipolaire, que l'on appelait anciennement la maniacodépression, touche de 1% à 5% de la population. Même si cette proportion peut sembler faible, elle cache cependant une réalité tout autre, car le trouble bipolaire affecte bien plus que les personnes atteintes. Il s'attaque aussi à la vie de tous ceux qui les côtoient. Cet ouvrage s'adresse aussi bien aux conjoints, aux parents, aux amis et aux employeurs des personnes atteintes, car tous ces gens subissent le ressac de cette terrible maladie et sont entraînés dans ces montagnes russes. Ce livre a été écrit avec un grand respect pour les personnes atteintes du trouble bipolaire. Voici comment l'auteur les décrit: «Ils sont fascinants à bien des égards. Ils vivent les extrêmes des émotions humaines, dans ce qu'il y a de plus heureux et de plus malheureux, là où l'être humain ne se rend habituellement pas. Cet ouvrage décrit la maladie, ses origines mixtes (génétique, environnementale, sociale) et ses signes précurseurs, et nous propose quelques tests faciles pour déceler ce trouble. Des chapitres sont consacrés au trouble bipolaire chez l'enfant, chez l'adolescent et chez la femme enceinte. Il y est aussi question des thérapies, des traitements par médicaments et des problèmes qu'ils génèrent. Qu'en est-il des produits naturels, comme le millepertuis? Qu'est-ce que la thérapie cognitivocomportementale? Il convient aussi de souligner l'apport important des groupes d'entraide pour les gens atteints. Ce guide est un outil hors pair. De nombreux témoignages, dont ceux de Guy Latraverse, homme d'affaires bien connu, et de l'humoriste Michel Courtemanche, complètent le tout.

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- 173 p. : ill.
Cote : WM 172 B426s 2008

Stress ; Angoisse

Gérer son stress, c'est améliorer sa vie. Voici donc des méthodes simples et efficaces pour contrôler notre stress. Les auteurs présentent entre autres une méthode qui a fait ses preuves, la thérapie cognitivo-comportementale. Un livre complet, un guide parfait.

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- 172 p. : ill.
Cote : WP 870 S993c 2007

Sein - Cancer - Ouvrages de vulgarisation

Mise au point concernant l'autoexamen des seins et la récente position de la Société canadienne du cancer La docteure Dominique Synnott, chirurgienne générale, chirurgie oncologique, chef de la clinique du sein de l'Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, auteure du livre Le cancer du sein, tout et même plus1, s'indigne de la récente déclaration de la Société canadienne du cancer (SCC) à l'effet que l'autoexamen des seins (AES) n'est plus dorénavant recommandé et surtout serait dangereux. Un revirement pour le moins inusité, de la part de cet organisme qui a prôné pendant de nombreuses années les bienfaits de l'AES. Ce changement de position est inusité parce qu'il arrive en conséquence d'une recherche publiée il y a 10 ans (en 1997, à Shanghai), et qui depuis suscite la controverse ― notamment en 2001 au cours d'un forum de discussion du Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS), tenu à Montréal. Il n'y a eu depuis ce temps aucune nouveauté, aucune nouvelle étude, aucune nouvelle recommandation; il s'agit d'une «vieille» nouvelle. Il est vrai que l'AES n'était pas une méthode suffisamment fiable pour permettre de sauver des vies, car seulement 26 % des cancers du sein étaient détectés grâce à elle. La mammographie utilisée comme seul moyen de dépistage, de son côté, arrivait à un résultat de 85 %. Il faut toutefois souligner que, combinée à l'examen médical et à l'AES, la mammographie connaissait un taux de succès grimpant jusqu'à 90 %. Suggérer de ne plus pratiquer l'AES, c'est un peu comme si on ne recommandait plus de boucler sa ceinture de sécurité en voiture puisque les automobiles sont maintenant équipées de coussins gonflables! De plus, dans la déclaration de la SCC, on souligne que bien que l'AES ne soit plus recommandé, on demande aux femmes de bien connaître leurs seins en les palpant régulièrement. À la SCC, on craint que les mots «autoexamen des seins» ne fassent peur aux femmes. Il faudrait rappeler que la peur des mots sera toujours moins dangereuse que le cancer lui-même. La Dre Dominique Synnott recommande donc aux femmes de passer outre à la recommandation de la Société canadienne du cancer telle que formulée. Il convient de bien continuer la prévention, sans avoir peur des mots.

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